Foire aux questions

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Le chauffage au pellet est-il plus économique que le chauffage au mazout ou au gaz ?

Bien que l’investissement de départ pour une installation de chauffage central au pellet soit souvent plus important que pour une installation au mazout ou au gaz, par exemple, cet investissement s’avère être judicieux et devenir intéressant dès que l’on considère celui-ci avec une vision de moyen terme.

En effet, le prix du kWh de pellet est inférieur à celui du kWh produit à partir de gaz naturel et de mazout. La différence est encore plus marquée si la comparaison est faite avec le gaz propane ou l’électricité. Le surcoût initial se voit donc rentabilisé après quelques années.

A côté de l’aspect écologique évident de l’utilisation du pellet, un autre avantage majeur du granulé de bois provient du fait qu’il peut être produit très localement dans notre région. Cela favorise donc  les circuits courts et l’économie locale, ce qui est très important, à l’heure de la mondialisation.

Contrairement aux combustibles d’origine fossile tels que le mazout et le gaz, la production et la distribution du pellet sont indépendants des soubresauts géopolitiques mondiaux et de la fluctuation du dollar sur les marchés, notamment. N’est-ce pas là un gage de stabilité à moyen et long terme ?

Puis-je installer une chaudière à pellets dans ma maison ?

Le chauffage central aux granulés de bois présente de nombreux avantages. Cependant, il présente une contrainte importante : le besoin d’un certain volume disponible pour le stockage de celui-ci.

Si vous disposez d’un espace au sol minimum de +/- 2 mètre par 1,60 mètre, alors un Flexilo Compact peut déjà être installé pour vous permettre d’opter pour une chaudière à remplissage automatique qui vous procurera souplesse et facilité d’utilisation ainsi qu’une autonomie accrue.

Si tel n’est pas le cas, une chaudière à pellets à remplissage manuel pourra malgré-tout vous donner une autonomie allant jusqu’à une semaine environ. Pour cela vous devrez remplir, à partir de sacs de 15 kg, un mini silo d’environ incorporé à la chaudière.

Puis-je produire de l’eau chaude sanitaire à l’aide d’une pompe à chaleur ?

Il est tout à fait possible de produire de l’eau chaude sanitaire directement à partir d’une pompe à chaleur.

Il faudra prévoir, pour cela, une capacité de stockage plus importante (à partir d’environ 300 litres pour une famille moyenne) de manière à subvenir aux besoins en eau chaude sanitaire tout en ne recourant pas à l’utilisation d’une résistance électrique additionnelle et tout en ne pénalisant pas trop le rendement global de la pompe à chaleur.

De plus, couplée à une installation photovoltaïque correctement et raisonnablement dimensionnée, la pompe à chaleur pourra fonctionner de manière intelligente et « concertée » avec les panneaux dans le but d’absorber directement un maximum de l’électricité produite et de la dédier notamment à la production d’eau chaude sanitaire.

Résultat :

  • Pour les (grosses) installations existantes : on diminue considérablement la quantité d’électricité réinjectée sur le réseau ; réinjection probablement accompagnée d’une taxe dans un futur proche.
  • Pour toutes les installations : on maximise la part d’énergie « gratuite » dans sa consommation journalière et on garantit ainsi de bonnes économies !
Quels usages puis-je faire de mon eau de pluie ?

L’eau de pluie récupérée et stockée dans une citerne peut desservir une partie de votre installation en eau froide.

L’installation d’un groupe hydrophore ou d’une pompe immergée, par exemple, associée à l’installation d’un système de filtration peut vous permettre d’alimenter les toilettes, une machine à laver, un robinet extérieur pour le jardinage ou le nettoyage d’une terrasse, un robinet de garage, … soit des utilisations ne nécessitant pas de l’eau potable.

De quoi substantiellement réduire votre consommation d’eau !

Quelle est la différence entre un système de ventilation simple flux et double flux ?

Un système de ventilation simple flux va, à partir d’un groupe d’extraction centralisé, extraire l’air vicié des pièces dites « humides » (salles de bain, toilette, cuisine, buanderie) pour le rejeter vers l’extérieur. L’admission de l’air frais extérieur se fera via des aérateurs installés au niveau des châssis des fenêtres. Des orifices de transfert (détalonnage des portes, par exemple) entre les différentes

Dans un système de ventilation double flux, comme son nom l’indique, ce sont deux flux distincts qui vont être générés par un groupe de ventilation mécanique lui aussi centralisé :

  • D’un côté, le groupe de ventilation double flux va extraire l’air humide et vicié des pièces dites « humides » (salle de bain, cuisine, toilette, buanderie) pour le rejeter à l’extérieur.
  • De l’autre côté, le groupe de ventilation va aspirer de l’air frais extérieur pour le pulser dans les pièces dites « sèches » (salon, salle à manger, chambres).

Ces deux flux vont se croiser dans un échangeur de chaleur contenu dans le groupe de VMC. A l’intérieur de celui-ci, l’air frais provenant de l’extérieur pourra récupérer une partie (près de 80%) de la chaleur contenue dans l’air vicié chauffé de l’habitation qui s’apprête, lui, à être expulsé vers l’extérieur. Un climat sain pourra ainsi être assuré continuellement dans votre habitation tout en garantissant un bon rendement énergétique et donc des économies d’énergie !

Poêle à bois ou poêle à pellets ? Que choisir ?

Le combustible de base reste le bois mais il est utilisé sous deux formes différentes : la bûche d’un côté et le granulé de l’autre.

Les deux systèmes possèdent leurs avantages et leurs contraintes.

Les poêles et inserts à bois bûche ont pour avantage d’avoir une belle flamme, reposante, très chaleureuse et rayonnante.

Les poêles et inserts à pellets quant à eux, ayant une flamme souvent plus petite et plus vive, permettent un fonctionnement totalement automatisé du poêle, assurant une température ambiante constante et réglable dans les pièces de vie. Le confort d’utilisation est donc accru, endéans une petite perte d’esthétique de flamme par rapport aux appareils fonctionnant au bois bûche.

Le choix dépendra donc des priorités de chacun !

Pour ceux qui ne sauront vraiment pas trancher, il existe des appareils combinés bois / pellets, offrant les avantages des 2 modes de fonctionnement !

Dois-je faire l’entretien de ma chaudière tous les ans ?

Il est légalement obligatoire de procéder à l’entretien de sa chaudière :

  • Tous les ans pour une chaudière à mazout
  • Tous les 2 ans pour une chaudière à gaz

En ce qui concerne les chaudières à pellets ou à bois bûche, il est souvent nécessaire de faire un entretien plus d’une fois par an pour éviter un encrassement qui nuise à son bon fonctionnement.

Dois-je faire l’entretien et le ramonage de mon poêle à bois ou à pellets tous les ans ?

Il est fortement conseillé de faire l’entretien de son poêle à bois ou à pellet ainsi que de procéder au ramonage de la cheminée tous les ans.

Un entretien régulier permet de prévenir les pannes et soucis divers.

Dans quelles régions travaillons-nous ?

Notre « cœur d’activité » est la région du sud Luxembourg (Gaume, Lorraine, région Arlon). Cependant, d’une manière générale, nous opérons dans un rayon de 50 km autour de Tintigny, incluant donc une partie du Grand Duché de Luxembourg, des Ardennes belges et Françaises ainsi que de la Lorraine Française.

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